30. août 2021

Protispar diminue les apports en protéines dans la ration

Les défis sont nombreux pour les exploitations laitières et l’élevage de Bent Jørgensen à Thyregod au Danemark ne fait pas exception.

Bent JørgensenIl faut de grandes quantités d’aliments pour bien nourrir 300 vaches, et ça demande une planification budgétaire. Si vous considérez la hausse des prix des matières premières, il faut rechercher des alternatives. Pour cette raison, Bent Jørgensen n'a pas tardé à dire « oui » lorsqu’on lui a proposé de tester ProtiSpar - un complément qui permet d'économiser des protéines avec un apport en énergie inchangé.

« Nous l'utilisons depuis 1 mois et demi maintenant. Ça semble être une option évidente par rapport aux défis que nous avons actuellement à relever avec les prix des matières premières. Nous devons économiser où nous pouvons. Et lorsque nous baissons le soja dans l'alimentation, c'est aussi bon pour l'environnement en fin de compte et avantageux économiquement », dit Bent qui poursuit:

« La transition vers l'utilisation du ProtiSpar dans la ration s'est très bien déroulée. Nous avons supprimé un peu plus d'un demi-kilo de tourteau de soja par vache et par jour, ce qui est un peu plus que ce qu’on nous avait annoncé. Donc, je suis vraiment satisfait de ça. »

Réduction des rejets azotés

Dans une ration à 32 % d'ensilage d'herbe, 46 % d'ensilage de maïs, 8 % de tourteau de colza, 4,5 % d'un mélange de céréales, 8 % d'un concentré de production, 20 g d'urée et des minéraux, 1 kg de tourteau de colza a été remplacé par 1 kg du mélange de céréales contenant du ProtiSpar. Les apports en énergie étaient presque identiques. La teneur en protéines brutes a été réduite de 15,5% à 14,7%.

Jannie Rodenberg Ugelvig, responsable technique Ruminant chez Vilofoss Danemark, nous parle des résultats:

« Il y a eu une baisse de la teneur en urée du lait de 23 mg/L et le nombre de cellules est passé de 246 000 à 168 000. La production laitière est restée identique. Comparé aux apports en énergie et protéines, ProtiSpar dans la ration permet à la fois d’améliorer l’efficacité alimentaire, et le rendement protéique. On utilise moins de protéines pour une production et des performances identiques. L’analyse des échantillons d'urine du groupe témoin et du groupe avec Protispar, a montré une réduction de l'excrétion d'urée chez les vaches du lot ProtiSpar.»

« L'essai du Bade-Wurtemberg n'est qu'un des exemples de la façon dont ProtiSpar peut faire la différence dans les exploitations. Nous constatons en fait la même réponse positive chez nos clients, comme dans le cas de Bent Jørgensen », conclut Jannie Rodenberg Ugelvig.

Nous allons continuer

Comme indiqué précédemment, Bent Jørgensen a réussi à diminuer l'apport de protéines dans la ration et peut être satisfait d’agir en faveur de l’environnement. Mais quels sont les résultats économiques ?

Bent Jørgensen« Je peux voir une amélioration sur les revenus par vache en économisant sur le soja dans la ration. Avec les contrats que j'avais sur les achats de matières premières, nous étions à environ 15-20 centimes DKK (2 à 2.7 cts d’€) d'économie par vache par jour. Ce n'était pas grand-chose, mais j'avais aussi des contrats très avantageux. Avec les niveaux de prix actuels, je peux voir qu'avec ProtiSpar, nous pouvons économiser jusqu'à 13 cts d’€ par vache et par jour, c'est là que ça commence à avoir du sens », explique Bent.

Et le comportement global des vaches n’a pas changé.

«Je n'ai vu aucun changement dans la production laitière - c'est le statu quo, et cela fait partie de l'objectif. Sur ce plan, je suis très satisfait. Il en va de même pour l'ingestion, les vaches consomment comme d'habitude », explique Bent.

Mais oseriez-vous investir dans ProtiSpar sur le long terme ? La réponse est claire si vous demandez à Bent Jørgensen.

« Le plan c’est juste de continuer – maintenant que nous avons vu que ça fonctionne, pourquoi ne pas continuer ? » conclut-il.

Vous voulez en savoir plus sur ProtiSpar ? Cliquez ici.